Georges Brassens …
Hier après-midi, je suis allé voir l’exposition qui lui est consacrée à la Cité de la Musique.
Que dire … si vous ne l’avez pas vue, alors dépêchez-vous, il ne vous reste que 15 jours.
Une très belle expo et surtout un formidable hommage à notre ami Georges.
Visite émouvante durant laquelle Georges Brassens vous accompagne avec des extraits de ses merveilleuses chansons.
Toutes les générations s’y rencontrent et, si vous tendiez un tantinet l’oreille, vous pouviez entendre les visiteurs murmurant la chanson diffusée. Le plus bel hommage que l’on pouvait rendre à Georges : trois générations, trente ans après sa mort, qui n’avaient pas oublié ses merveilleux textes.
Le côté le plus émouvant de cette exposition est sans nul doute tous ces manuscrits – carnets où étaient consignés ses impressions sur le concert donné, brouillons de ses chansons, lettres à ses amis ou ses parents …
On aurait pu penser que tout cela aurait pu tourner au voyeurisme … mais non, nous avons partagé son livre de souvenirs.
Des vidéos animent cette visite. Un petit bémol, les points audio … il est possible d’écouter à l’aide d’écouteurs ou de téléphones Georges Brassens s’exprimant sur différents sujets (un petit bijou : sa position vis-à-vis de l’église). Très bonne idée mais, compte-tenu du succès et donc du nombre important de visiteurs, il est très difficile d’approcher ces fameux points audio.
Les extraits de la Bande Dessinée de Joann Star illustrent d’une manière originale et très agréable ce voyage au pays de Georges Brassens.
Un merveilleux moment qui devait se terminer par un mini récital d'un« jeune chanteur ». Et là, déception … je n’ai pas retrouvé Brassens. Alors désolé, monsieur, je suis parti durant la deuxième interprétation et suis rentré à la maison.
Et devinez … j’ai mis du Brassens sur la chaîne.
Merci à Joann Star et Clémentine Deroudille, ainsi qu’à toute l’équipe, ne nous avoir fait partager votre passion pour Georges Brassens.
« Si, par hasard
Sur l'Pont des Arts
Tu croises le vent, le vent fripon
Prudenc', prends garde à ton jupon
Si, par hasard
Sur l'Pont des Arts
Tu croises le vent, le vent maraud
Prudent, prends garde à ton chapeau… »
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