Je m’inquiète beaucoup. Notre Président-candidat est il amnésique, menteur ou les deux !

Dans tous les cas, peut-on lui faire confiance ?

Pour ce billet, je m’appuie sur un article de Thierry de Cabarrus paru sur le site de « Le plus nouvel obs »

Mercredi soir, Nicolas Sarkozy était l’invité du journal de TF1.

Le journaliste François Bachy lui demande :

« Alors vous voulez faire du 1er-Mai la fête du 'vrai travail' ? »

Le président l'interrompt vivement : « Non, non. Je n'ai pas dit du 'vrai travail'. Je veux faire du 1er-Mai une fête du travail. »

«  Vous avez quand même dit du 'vrai travail' » poursuit Bachy, complètement estomaqué par l’aplomb de celui qu’il interroge.

- « Non, non, non, non", l'interrompt Nicolas Sarkozy.

 Laurence Ferrari s’y met à son tour et recadre la question de son confrère :

 « Mais vous gommez le coté ‘vrai travail’ ? Vous ne dites plus 'vrai travail' ?

- Non, c’est une fête pour célébrer la valeur 'travail'. »

De nouveau, Sarkozy biaise en évoquant "une différence" entre ceux qui travaillent "sous statut" et ceux "qui travaillent dans les usines" et qui sont touchés directement par la crise. Il affirme ensuite qu'il souhaite parler du "travail qui permet l'émancipation de l'homme", car "c’est le chômage qui aliène".

Et pourtant, les preuves existent, le Lundi 23 avril sur FranceTVinfo, il a fait cette annonce : 

« Le 1er-Mai, nous allons organiser la fête du travail. Mais la fête du travail, du vrai travail, de ceux qui travaillent dur, qui sont exposés, qui souffrent, qui ne veulent plus que, quand on ne travaille pas, on puisse gagner plus que quand on travaille. Et donc il y aura un très grand rassemblement le 1er mai autour du travail. Mais on défendra, nous, vraiment le travail, pas le statut, le travail. »

Et ce même lundi, à Saint-Cyr-sur-Loire, près de Tours (on peut l’entendre sur une vidéo UMP), il déclare :

« Alors on me dit, 'Qu’est-ce que c’est le 'vrai travail' ?'. Je vais vous expliquer ce que c'est le 'vrai travail' : c’est celui qui a construit toute sa vie sans demander rien à personne. Il s’est levé très tôt le matin, couché très tard le soir. Il ne demande aucune félicitation, aucune décoration, rien ! C’est celui qui a commencé tout en bas, qui s’est hissé le plus haut possible et qui se dit 'Je veux que mes enfants puissent vivre mieux que moi et commencer plus haut que moi'.

 Le 'vrai travail', c’est celui qui se dit : ‘Oh, j’ai pas un gros patrimoine, mais le patrimoine que j’ai, j’y tiens, parce qu’il représente tellement de sueur, tellement de milliers, de milliers d’heures de mon travail, tellement de peine, tellement de sacrifices, tellement de souffrance... Ce patrimoine-là, on ne me le volera pas, parce que c’est le mien, c’est celui de ma famille… J’ai trimé pour ce patrimoine-là et j’ai pas l’intention de m’excuser d’avoir construit cette vie.’ C’est ça le 'vrai travail' ! »

 Il s’est rendu compte, un peu tardivement, qu’il pouvait ainsi choquer les quelques sept millions de fonctionnaires ou de personnes sous statut et qui de plus votent…

Alors quand dit-il la vérité ?

C’est vrai qu’il a également oublié ses promesses de 2007 !

Peut-on vraiment faire confiance à un homme qui a tant de pertes de mémoire ?

Ce  n’est pas brillant comme note. Dans certains cas, on vous permettrait le redoublement mais, dans le vôtre, je demande l’expulsion.

Pourquoi une telle sentence, vous ne nous donnez vraiment pas l’impression de vouloir faire des efforts, donc … au revoir jeune homme.

Redevenons un peu plus sérieux car la situation est grave.

Un institut libéral, rapporte  le journal Les Echos, a noté les réformes menées sous le quinquennat et la note est plutôt passable de 9,5 sur 20.

L’institut Thomas More indique que la plupart des réformes n’ont pas été menées à leur terme : sur 1322, 47,4 % ont été « réalisées », 8,7 % « altérées » et les autres « inachevées » ou « abandonnées »

Voyons  un peu quelques notes :

On commence par les bonnes. Il obtient de bonnes notes pour les retraites (14,5 / 20), dans les domaines de la justice et de la sécurité (12,5/20), de l’agriculture et de la recherche.

Par contre, il est crédité d’un 8/20 pour la famille ou d’un 7,5/20 pour l’éducation. Mais le principal « point noir » se situe dans les finances publiques … 6/20. L’institut qualifie les mesures de « rustines »

L'institut relativise toutefois ces mauvaises notes. "Si le bilan paraît décevant à beaucoup de Français au regard des attentes de 2007 et des résultats  sanctionnés par notre baromètre, il convient de le relativiser au regard de la crise rencontrée depuis 2008"

Alors, quand on passe à côté de la famille, de l’éducation et des finances publiques, il me semble difficile de lui confier les manettes pour 5 ans supplémentaires.

Il y a un point essentiel ce sont les finances car sans finances saines il est difficile de mener à bien de bonnes réformes.

Je ne pense pas que la santé ait obtenu une super note non plus.

Non, je regrette, nous ne pouvons vraiment pas vous proposer le redoublement … pensez à une reconversion.

Décidemment Nicolas se console bien vite. Rappelez-vous Cécilia s’en va et hop arrive Carla.

Et bien, il nous rejoue quasiment la même scène mais avec Angela et Jean-Louis (Merkel et Borloo vous aviez compris …)

Pourtant, Jean-Louis, il ne semblait pas près à revenir auprès de Nicolas. Il avait même boudé Villepinte … oh ! le vilain ! Après ce fut une balade ratée en Champagne … enfin dans ce coin là.

Et puis, à Valenciennes, c’est la réconciliation … une véritable « love story » … un truc pas monté du tout, du tout, par les agents de com. Nicolas vient en visite et Jean-Louis est là … Ils se retrouvent dans un tramway … C’est mieux que « les feux de l’amour ».

Et Jean-Louis n’hésite pas : « Ça me rappelle des souvenirs (ce trajet en tramway avec Nicolas Sarkozy), c'était en 2007, je crois. » En 2008 pour être précis.

Pour un peu, c’eut été dans un champ. J’imagine très bien sur une musique de Francis Lai ou Sergio Leone. Jean-Louis surgissant d’un côté et Nicolas de l’autre. Ils courent, vous savez en décomposant bien le mouvement, et ils tombent dans les bras l’un de l’autre. Je sens une larme qui coule sur ma joue tant c’est émouvant.

J’ai l’impression que les premières journées de printemps ne me réussissent pas.

Nicolas nous le dit « On s'est toujours beaucoup parlé. Valenciennes est vraiment la preuve qu'il y a de l'espérance, que rien n'est jamais fini. Et que quand il y a des hommes et des femmes de talent comme Valérie Létard et Jean-Louis Borloo, tous les territoires ont une possibilité d'envisager l'avenir. »

Non là c’est trop … je vais devoir allez chercher la boîte familiale de mouchoirs en papier.

Et pendant ce temps là, Angela se préparerait à envisager sérieusement l’hypothèse de voir François à la présidence.

Elle pesterait en privé contre le « comportement changeant » de Nicolas Sarkozy, comme le confie son entourage et ses inquiétudes concernant les prises de position de François sembleraient se dissiper.

On parlerait même d’une « offensive de charme » dans le cas où François l’emporterait le 6 mai prochain. Oh ! De grâce, jouez nous la soft, votre rencontre.

Un haut responsable du gouvernement allemand laisse entendre qu'une nouvelle formulation du pacte budgétaire pourrait même être envisagée afin d'apaiser François Hollande en cas de victoire

C’est extraordinaire la politique … Dire qu’il y a des scénaristes qui se fatiguent à chercher des idées !!!

Ce n’est certes pas encore le grand Amour mais …

De plus, un conseiller d’Angela rapporte qu’elle n’aurait accepté qu’avec réticence d'ignorer François Hollande à la demande du président français, et qu’après avoir reçu de Nicolas Sarkozy l'assurance qu'elle ne serait pas le seul dirigeant européen à agir de la sorte.

Que doit-on en dire ? Que c’est beau ou que c’est triste ?

A vous de juger … je pencherai pour la seconde

Ah oui ! Si j’avais su en 2007, j’aurais voté Nicolas Sarkozy.

Ce n’est pas possible, j’ai laissé passer une telle chance. Il est sensationnel cet homme. Rien  à voir avec notre président actuel qui ne sait nous parler que de rigueur, d’austérité, de travailler plus pour gagner moins, de cadeaux aux classes les plus aisées.

Vous avez vu par contre comme le nouveau Sarkozy est sympathique. Il est proche des ouvriers, des plus défavorisés … François Hollande, à côté, fait vraiment figure de conservateur, homme de droite …

Nicolas, il a des propositions pour tout le monde. De l’argent, il en trouve partout et pour tous.

Toutes les usines qui ont fermé, ces cinq dernières années, elles vont trouver repreneur grâce à Sarkoman, le nouveau Zorro de la politique française.

Il fait un meeting et/ou une émission de télé par jour et, un coup de baguette magique, il vous fait au moins une sinon plus de propositions.

Ce week-end, il était à Capital sur M6 et bien il va réduire l’inflation, faire des propositions dans le domaine de la santé, du logement, de l’emploi des séniors ou en faveur des PME.

Invité de l'émission Capital, le président-candidat a proposé "l'exonération de charges sociales pour l'embauche de chômeurs de plus de 55 ans qui obtiennent un CDI ou un CDD de plus de six mois". Il a déclaré que depuis 2007, il y avait "520 000 séniors de plus au travail", soit un taux d'emploi des plus de 55 ans en hausse de huit points.

Cette aide sera "permanente" mais "limitée au plafond de la Sécurité sociale, soit 36.000 euros de salaire brut par an", a précisé sa porte-parole Nathalie Kosciusko-Morizet à l'AFP.

Il s’est même engagé à ne pas toucher à l’âge légal de départ à la retraite (62 ans).

Il va ouvrir des « maisons avec des médecins libéraux » pour gérer les « urgences du quotidien » afin de désengorger les services hospitaliers.

Il est prêt à relever le prix de l’acte pour les médecins qui s’installent dans les zones où l’on manque de médecins. Pour l’occasion, il a même découvert une formule : « Ca s'appelle une mission de service public", a-t-il dit. Alors que l’actuel Président casse le service public, lui, il va le revaloriser … c’est beau !!!

Et super Sarko vous le dit lorsque « nous serons revenus à l'équilibre, nous pourrons proposer de nouvelles réponses pour les dents et les lunettes. »

Il n’a pas annoncé qu’il allait réquisitionner tous ces logements ou bâtiments inoccupés pour les transformer en logements sociaux mais cela ne va tarder.

Avouez que franchement si nous avions eu un tel président depuis 2007 nous n’en serions pas là : chômage en hausse, pauvreté en hausse, dégradation du service public tant dans la santé que dans l’éducation, etc …

Par contre, il y a une zone d’ombre au tableau du Sarkozy nouveau. Il y a du tiraillement dans son couple.

Non !!! Pas avec sa Carlita adorée mais avec Angela.

Et oui, si l’on en croit la presse allemande, la chancelière aurait été franchement agacée par la volte-face du président français qui, après l’avoir conviée à un de ses meetings électoraux, aurait oublié de lui confirmer le rendez-vous…

Si Angela Merkel n’a pas encore décidé de tourner le dos à Nicolas Sarkozy, selon l’hebdomadaire Der Spiegel de ce week-end, la présidente du parti conservateur CDU a manifesté sa mauvaise humeur devant ses proches collaborateurs en apprenant que le chef de l’Etat ne souhaitait plus sa présence. Elle l’aurait d’ailleurs fait savoir à l’intéressé quelques jours plus tard, en marge du sommet de l’Union européenne à Bruxelles.

Toujours d’après Der Spiegel, la Chancelière allemande ne serait, au fond, pas si mécontente que ça de ne plus venir en France soutenir le candidat-président.

Finalement, je reste persuadé que le Sarko nouveau c’est le même que le Sarko l’ancien.

Donc, je ne voterai pas pour lui comme en 2007 et j’espère fortement que nous serons très, très nombreux cette fois.

Ah, il s’en glorifiait de l’Europe !

Il ironisait à l’encontre de François Hollande qui veut rediscuter du traité !

Avec Angela, c’était le grand amour …

Tous les chefs d’Etat européens de droite snobaient François Hollande !

Et vint le discours de Villepinte et …

Guy Verhofstadt, chef de file des députés européens libéraux et ancien Premier ministre belge, n’a pas mâché ses mots : « Dire que la moitié des immigrations doivent quitter la France, comme le président M. Sarkozy le dit, s’attaquer au halal, au même moment s’attaquer aux autres partenaires en ce qui concerne Schengen… moi je me demande en fait qui est le candidat de l’extrême droite. Est-ce que c’est le Pen ou est-ce que c’est Sarkozy ? »

Juste avant lui, le socialiste autrichien Hannes Swoboda avait brandi son passeport et demandé si les députés européens devaient désormais s’en munir pour se rendre au Parlement de Strasbourg.

Les commentaires officiels furent rares, en dehors de Bruxelles et de Berlin. Ouvertement, il n’ya pas eu de critiques de la part des gouvernements européens. Ils ne veulent pas s’immiscer dans notre campagne mais l’on sent un certain malaise et la presse étrangère commence en s’en faire l’écho.

Le porte-parole de la grande copine à Nicolas, Angela, a rappelé, à propos de l’espace Schengen, que Berlin considérait cet acquis comme « un bien précieux ». « La libre circulation des personnes compte parmi les réalisations les plus concrètes et les plus importantes de l'intégration européenne et constituent une liberté fondamentale ».

Le quotidien conservateur « FAZ » souligne que le président-candidat a reçu « quoi qu'il fasse » le soutien de la chancelière lors sa dernière visite à Paris. Même s'il n'est plus question qu'Angela Merkel participe à un meeting de campagne, comme cela avait été évoqué un temps.

Cecilia Malmström, la commissaire européenne en charge des affaires intérieures et donc de l'immigration, a aussi insisté sur le fait qu'il était impossible d'exclure un Etat de la zone de Schengen ou même de s'exclure. « Schengen fait partie du traité de l'Union européenne et donc une modification demandera un changement de ce traité » devant être ratifié par tous les pays, a-t-elle averti.

Le président du Conseil, Mario Monti, a préféré s'abstenir de tout commentaire. Pour le quotidien turinois « La Stampa », les Italiens se sont sentis visés lorsque Nicolas Sarkozy a qualifié l'espace Schengen de « ventre mou ». Pour le « Corriere della Sera », la menace du président-candidat de faire bande à part est un « coup cinglant » porté au couple franco-allemand et relève d'une « stratégie de conquête de l'électorat du Front national » en totale contradiction avec l'esprit des pères fondateurs de l'Europe. « La Repubblica », a pointé quant à lui le propos « anti immigrés » du candidat.

Cela fait quand même un peu, beaucoup désordre…

Ah, il « ne manque pas d’air » notre Président-Candidat !

Qu’il se réjouisse du succès de « The Artist » … je pense que nous ne pouvons que nous réjouir d’un tel succès. Il serait vraiment de mauvais goût de ne pas s’en réjouir.

Mais, le sujet qui nous préoccupe est plus grave … On connait les nommés (d’ailleurs, la plupart se nomment eux-mêmes … ainsi ils sont certains de l’être). Mais on aimerait bien connaître le gagnant. Il va falloir attendre jusqu’au 6 mai 20 heures.

Qu’allez-vous sortir de votre chapeau Mr Sarkozy ?

Ah ! Cà vous faites fort … Chaque jour nous offre son lot de propositions et de démagogie.

Hier, deux annonces qui, je l’espère fortement, ne berneront pas nos concitoyens.

Vous promettez des mesures pour Arcelor Mittal,  à Florange. Vous découvrez seulement le sort des ouvriers de cette région … Souvenez-vous en 2007 ?

La Réunion, vous allez leur rendre visite en Avril en faisant les mêmes promesses qu’à chaque voyage et la situation empire, empire … Et le chômage grimpe, grimpe …

Par contre, pour lancer des flèches au raz des pâquerettes à l’encontre de François Hollande vous ne vous en privez pas.

Vous n’hésitez pas à faire une allusion (des plus déplacées quand on connait vos relations avec Mr Bolloré) à l’encontre de Valérie Trierweiller : « Est-ce moi qui travaille dans le groupe de M. Bolloré? Personne n'a d'émission dans le groupe Bolloré? ».

Si l’on ne doit travailler que chez des patrons avec lesquels on partage les idées … le nombre de chômeurs n’est pas prêt de diminuer. Par contre, partir sur un yacht ….

Vous traitez de démagogie les propositions de François Hollande sur l’éducation. Vous lui reprochez de s’occuper de cette grande institution qui doit être accessible à tous et qui se doit de former tous les enfants.

Vous raillez la proposition de François Hollande qui vise à bloquer le prix de l’essence. Oui, le prix du pétrole st déterminé par « un marché mondial à l'extérieur ». Mais les taxes dépendent du gouvernement français.

Vous n’avez pas arrêté de nous annoncer des référendums. Référendums qui pointent du doigt certaines catégories d’hommes et de femmes.

Par contre, vous excluez de soumettre à référendum le traité européen de discipline budgétaire. Vous le jugez trop complexe. Alors, les français sont trop bêtes … Merci, Monsieur le Président-Candidat.

Pendant longtemps, on n’a pas voulu que la grande majorité du peuple accède à l’éducation, il était plus facilement gouvernable … Cette époque est terminée … à votre grand regret sûrement !!!

C’est vrai, comment remercier ce cher Jean-Louis Borloo de ne pas se présenter et surtout comment faire pour qu’il se tienne tranquille ?

Une occasion en or se présente. Henri Proglio, ex-PDG de Véolia, ne supporte pas son remplaçant, Antoine Frérot. Vous avez remarqué comme ce Monsieur supporte vraiment peu de PDG. Il y a peu de temps, c’était Anne Lauvergeon aujourd’hui Antoine Frérot. Et à chaque fois, il a gain de cause.

C’est vrai que ce Monsieur est un proche de qui vous savez.

Et qui vous savez, voudrait bien trouver un point de chute pour Jean-Louis. Il faut le remercier et surtout l’éloigner un peu du monde politique. Alors, un beau fauteuil … Pourquoi pas ?

Acceptera-t-il que Mr Proglio continue à le surveiller de très près … à voir.

On ne sait qui sera le futur PDG de Véolia (qui a tout de même perdu près de 60% de sa valeur en un an) mais il semble assuré que le PDG va, comme l’on dit, sauter. Au fait, il n’est PDG que depuis fin 2009 et il semblerait qu’il existe quelques « casseroles » !!!

Bref, Mrs Borloo et Proglio s’entendent à merveille (Mrs Proglio et Frérot étaient des « amis de 20 ans »). Nous pouvons assister à des tractations, des pressions … au sein du Conseil d’Administration.

Moralité de l’histoire : on commence à placer les copains-coquins. La politique du renvoi d’ascenseur est en marche.

A qui le tour ?

Hervé Morin que pourrait-on lui proposer comme cadeau ?

Et à cette chère Christine, Marcelle, Valérie, Cécile, Marie, Boutin … excusez du peu.

Au fait savez-vous que « sainte Christine » a épousé à 23 ans son cousin germain et qu’ils ont eu trois enfants … C’est toujours autorisé les mariages consanguins par notre chère église catholique !!!

Peu importe, cela n’est pas notre propos mais surveillons plutôt toutes les mutations, nominations dans les semaines à venir … nous risquons d’être surpris.

Il y a toujours eu ce genre de « manip » en fin de mandat mais mon petit doigt me dit que là cela va être d’un autre niveau ….